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lundi 26 mai 2025

GUERISON MIRACULEUSE : IL a sauvé ma jambe

« dans les 24 heures, il faudrait envisager une amputation »  

Lorsque j'avais 18 ans, en 1957, je vivais chez ma mère et travaillais dans une usine de filature de coton dans le Nord.
Un jour, j'ai contracté une grave infection à cause d'une chaussure défectueuse. Nous étions pauvres, et ma mère était très stricte : malade ou pas, il fallait aller travailler. Les jours qui ont suivi, mon pied est devenu noir et extrêmement douloureux. Une camarade de mon âge est même venue me chercher, car le bus ne pouvait pas monter jusqu'à chez nous à cause du risque d'éboulement au niveau des galeries minières. Elle m'a aidée à marcher jusqu'à la nationale pour prendre le transport qui nous menait à l'usine.
Ce matin là, la contremaître, remarquant mon état, a refusé de me laisser travailler. J'étais considérée comme une ouvrière assidue, et elle a placé des apprenties sur mes machines avant de m'envoyer à l'infirmerie. 
Une fois sur place, le médecin et l'infirmière ont constaté que l'infection avait atteint l'aine ; ma jambe était gangrenée. Ils m'ont informée que si l'infection ne se résorbait pas dans les 24 heures, il faudrait envisager une amputation : ils étaient très pessimistes car les moyens médicaux, à l'époque, étaient restreints. 
Le personnel médical a tout mis en œuvre pour sauver ma jambe. J'ai reçu un traitement antibiotique et ma jambe a été plongée et maintenue dans de l'eau très chaude – une méthode courante à l'époque – même si la douleur était intense. J'ai été gardée à l'infirmerie. 
Le lendemain, j'ai reçu les mêmes soins, et l'infection a commencé à se résorber, redonnant espoir aux soignants qui ont poursuivi les traitements jusqu'à ma guérison.
Vu l'état de ma jambe à mon arrivée à l'infirmerie, j'ai compris qu'il était miraculeux que je l'aie conservée, et j'étais convaincue que c'était Dieu qui était intervenu, psaume 103:3.


Rolande 


GUERISON MIRACULEUSE : Quand tu ne dois pas mourir !

 « car les joues de ma mère avaient retrouvé de la couleur »   

Les événements qui vont suivre se déroulent aux alentour de 1953, alors que j'avais seulement quatorze ans. Nous habitions dans le Pas-de-Calais. Ma mère avait rencontré mon beau-père à la mine, alors qu'elle y travaillait encore. Lui était mineur de fond, et son salaire était modeste.

Nous vivions dans la précarité, ce qui m'a empêchée de poursuivre mes études. Ma mère m' donc placée chez des industriels de la papeterie, non loin de la frontière belge. J'étais responsable de la cuisine et de la garde de leurs deux enfants, âgés de trois ans et six mois. Je ne rentrais chez moi qu'une fois par mois.

La petite fille du couple pleurait systématiquement lorsque venait l'heure du coucher. Ne supportant pas ses pleurs, je l'emportais discrètement avec moi. Un soir en particulier, je ne l'ai pas entendue pleurer comme d'habitude, ce qui m'a inquiétée. En allant vérifier dans sa chambre, j'ai découvert qu'elle dormait paisiblement.

Au milieu de la nuit, vers trois heures du matin, une lumière éclatante m'a tirée de mon sommeil, accompagnée d'une voix qui répétait : »Tu dois partir ». Je me sentais paralysée, incapable de bouger. Puis tout est redevenu calme et je me suis rendormie sans comprendre la signification de cette expérience.

Ce week-end là, alors que je devais prendre mon congé, mes employeurs, invités à un mariage, m'avaient demandé de garder les enfants. Le vendredi matin, vers six heures, le téléphone a sonné. J'ai entendu mon employeur discuter vivement avec son interlocuteur. Après avoir raccroché, il est venu frapper à ma porte et m'a annoncé que je devais rentrer chez moi, sans fournir d'explications.

A mon arrivée à la maison, le médecin de famille était déjà là. Il m'a informée qu'il reviendrait le lendemain matin n'ayant pas le document nécessaire pour établir le certificat de décès de ma mère, qui ne donnait plus signe de vie. Elle avait fait une fausse couche, n'avait pas pu être transportée à l’hôpital et avait perdu beaucoup de sang. Je ne réalisais pas l'ampleur de la situation : à l'époque, nous étions des enfants innocents, et notre mère, très stricte, nous intimait de ne pas poser de questions. Mon beau-père, quant à lui, ne s'exprimait qu'en un patois approximatif, étant illettré.

Une fois le médecin parti, dans ma naïveté, j'ai pris la main de ma mère et j'ai prié le « Notre Père » jusqu'à tard dans la nuit, psaume 145:18-19, psaume 143:1 . Le lendemain, lorsque le médecin est revenu, il s'est exclamé : C'est un miracle ! » car les joues de ma mère avaient retrouvé de la couleur. Il a envoyé mon beau-père chercher un médicament à la pharmacie avec une ordonnance. Sa réaction laissait entendre qu'un phénomène surnaturel s'était produit.

Ma mère a vécu encore quarante années après cela et a eu une fille.

Des années plus tard, après ma conversion , je repensais à ce jour et j'ai compris que Dieu avait orchestré ma vie d'une manière incroyable. J'étais un instrument de sa volonté, utilisée pour ramener ma mère à la vie.

Rolande