Jésus-Christ lui dit : "Retourne dans ta maison, et raconte tout ce que Dieu t’a fait". Luc 8:39

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IL Y A PLUS DE 2000 ANS : La femme adultère

La femme adultère, Jean 8:1-11    Jésus se rendit à la montagne des oliviers.  Mais, dès le matin, il alla de nouveau dans le temple, et tou...

lundi 26 mai 2025

GUERISON MIRACULEUSE : IL a sauvé ma jambe

« dans les 24 heures, il faudrait envisager une amputation »  

Lorsque j'avais 18 ans, en 1957, je vivais chez ma mère et travaillais dans une usine de filature de coton dans le Nord.
Un jour, j'ai contracté une grave infection à cause d'une chaussure défectueuse. Nous étions pauvres, et ma mère était très stricte : malade ou pas, il fallait aller travailler. Les jours qui ont suivi, mon pied est devenu noir et extrêmement douloureux. Une camarade de mon âge est même venue me chercher, car le bus ne pouvait pas monter jusqu'à chez nous à cause du risque d'éboulement au niveau des galeries minières. Elle m'a aidée à marcher jusqu'à la nationale pour prendre le transport qui nous menait à l'usine.
Ce matin là, la contremaître, remarquant mon état, a refusé de me laisser travailler. J'étais considérée comme une ouvrière assidue, et elle a placé des apprenties sur mes machines avant de m'envoyer à l'infirmerie. 
Une fois sur place, le médecin et l'infirmière ont constaté que l'infection avait atteint l'aine ; ma jambe était gangrenée. Ils m'ont informée que si l'infection ne se résorbait pas dans les 24 heures, il faudrait envisager une amputation : ils étaient très pessimistes car les moyens médicaux, à l'époque, étaient restreints. 
Le personnel médical a tout mis en œuvre pour sauver ma jambe. J'ai reçu un traitement antibiotique et ma jambe a été plongée et maintenue dans de l'eau très chaude – une méthode courante à l'époque – même si la douleur était intense. J'ai été gardée à l'infirmerie. 
Le lendemain, j'ai reçu les mêmes soins, et l'infection a commencé à se résorber, redonnant espoir aux soignants qui ont poursuivi les traitements jusqu'à ma guérison.
Vu l'état de ma jambe à mon arrivée à l'infirmerie, j'ai compris qu'il était miraculeux que je l'aie conservée, et j'étais convaincue que c'était Dieu qui était intervenu, psaume 103:3.


Rolande 


GUERISON MIRACULEUSE : Quand tu ne dois pas mourir !

 « car les joues de ma mère avaient retrouvé de la couleur »   

Les événements qui vont suivre se déroulent aux alentour de 1953, alors que j'avais seulement quatorze ans. Nous habitions dans le Pas-de-Calais. Ma mère avait rencontré mon beau-père à la mine, alors qu'elle y travaillait encore. Lui était mineur de fond, et son salaire était modeste.

Nous vivions dans la précarité, ce qui m'a empêchée de poursuivre mes études. Ma mère m' donc placée chez des industriels de la papeterie, non loin de la frontière belge. J'étais responsable de la cuisine et de la garde de leurs deux enfants, âgés de trois ans et six mois. Je ne rentrais chez moi qu'une fois par mois.

La petite fille du couple pleurait systématiquement lorsque venait l'heure du coucher. Ne supportant pas ses pleurs, je l'emportais discrètement avec moi. Un soir en particulier, je ne l'ai pas entendue pleurer comme d'habitude, ce qui m'a inquiétée. En allant vérifier dans sa chambre, j'ai découvert qu'elle dormait paisiblement.

Au milieu de la nuit, vers trois heures du matin, une lumière éclatante m'a tirée de mon sommeil, accompagnée d'une voix qui répétait : »Tu dois partir ». Je me sentais paralysée, incapable de bouger. Puis tout est redevenu calme et je me suis rendormie sans comprendre la signification de cette expérience.

Ce week-end là, alors que je devais prendre mon congé, mes employeurs, invités à un mariage, m'avaient demandé de garder les enfants. Le vendredi matin, vers six heures, le téléphone a sonné. J'ai entendu mon employeur discuter vivement avec son interlocuteur. Après avoir raccroché, il est venu frapper à ma porte et m'a annoncé que je devais rentrer chez moi, sans fournir d'explications.

A mon arrivée à la maison, le médecin de famille était déjà là. Il m'a informée qu'il reviendrait le lendemain matin n'ayant pas le document nécessaire pour établir le certificat de décès de ma mère, qui ne donnait plus signe de vie. Elle avait fait une fausse couche, n'avait pas pu être transportée à l’hôpital et avait perdu beaucoup de sang. Je ne réalisais pas l'ampleur de la situation : à l'époque, nous étions des enfants innocents, et notre mère, très stricte, nous intimait de ne pas poser de questions. Mon beau-père, quant à lui, ne s'exprimait qu'en un patois approximatif, étant illettré.

Une fois le médecin parti, dans ma naïveté, j'ai pris la main de ma mère et j'ai prié le « Notre Père » jusqu'à tard dans la nuit, psaume 145:18-19, psaume 143:1 . Le lendemain, lorsque le médecin est revenu, il s'est exclamé : C'est un miracle ! » car les joues de ma mère avaient retrouvé de la couleur. Il a envoyé mon beau-père chercher un médicament à la pharmacie avec une ordonnance. Sa réaction laissait entendre qu'un phénomène surnaturel s'était produit.

Ma mère a vécu encore quarante années après cela et a eu une fille.

Des années plus tard, après ma conversion , je repensais à ce jour et j'ai compris que Dieu avait orchestré ma vie d'une manière incroyable. J'étais un instrument de sa volonté, utilisée pour ramener ma mère à la vie.

Rolande

lundi 19 mai 2025

DU REJET A L 'ADOPTION ! Transformation personnelle

« DIEU m'a révélé ma valeur en tant que femme dans Son cœur et dans Son œuvre » 

Je suis née en 1962 à Paris, au sein d'une famille de commerçants. Mon frère, Paul, a vu le jour en 1963, avant que nos parents ne se séparent alors que nous étions encore très jeunes. Chacun d'eux a refait sa vie, faisant de moi l’aînée d’une fratrie de six enfants.

La séparation de nos parents et leurs remariages ont profondément bouleversé notre existence. Nous avons vécu dans un état de déséquilibre constant, ne nous sentant chez nous nulle part, psaume 27:10. Chaque année, nous changions de domicile, de région, et d’école, mon papa cherchant désespérément un endroit où nous pourrions nous stabiliser.

Mon père aurait souhaité un fils en premier, mais il a eu une fille ! Mon frère, en proie à son mal-être, attirait toute l’attention de notre père, me laissant souvent dans l'ombre. Papa me répétait : « Tu es l'aînée, tu dois montrer l’exemple et être forte. » J’ai donc fait de mon mieux pour répondre à ses attentes. Un jour, mon père a décidé de me couper les cheveux très courts, une action qui m'a semblé comme une amputation de ma féminité. Il ne réalisait pas l'impact que cela avait sur moi.

Les années ont filé, entre espoirs et désillusions. Adolescente, j'ai quitté la maison, vivant chez ma mère, lorsque j’ai rencontré le père de mon fils. Je pensais qu'en me mariant, je pourrais combler le vide en moi. Les deux années précédent notre union, entre mes 16 ans et notre mariage, ont été marquées par un profond malaise. Des mois durant, je dormais des journées entières et ne sortais de mon lit que pour manger, perdue et ne sachant pour qui ou pour quoi vivre. Nous nous sommes mariés en 1980, et mon fils est né en 1983. Quelques années plus tard, j’ai divorcé.

J’ai vécu avec un sentiment de rejet, craignant d’être abandonnée. Je rejetais les autres avant qu'ils ne puissent me blesser. Je n'avais pas une bonne image de moi en tant que femme. J'ai connu le mépris des hommes, et en retour, j'en venais à les mépriser moi-même inconsciemment. Ma vie était un combat permanent contre mes peurs, me considérant comme un objet, cherchant désespérément à être aimée, ayant besoin de tout contrôler. Cela m’a entraînée vers l'occultisme, la drogue, et une existence tumultueuse. Tout ce que je construisais finissait par s’effondrer ou par être détruit par mes propres mains. Tel était le cours de mon existence.

Puis, en 1996, mon frère Paul est décédé à 33 ans, d'une « fausse route ». En 1999, mon père s'est suicidé, et un an plus tard, mon second mari a failli mourir d’un œdème pulmonaire, mais, grâce à Dieu, il s'en est sorti.

C'est durant cette période que j'ai rencontré mon Sauveur et Seigneur, Jésus-Christ. En décidant de le suivre, j'ai fait l'expérience de la nouvelle naissance, recevant le pardon pour mes péchés et laissant mon passé derrière moi. Dieu m’a accueillie comme Sa fille, jean 6:37, m'offrant une nouvelle espérance, guérissant mes blessures, psaume 147:3, Il m’a appris à pardonner et m’a révélé ma valeur en tant que femme dans Son cœur et Son œuvre. En somme, Il m’a comblée de Son Amour.

Aujourd'hui, je ne suis plus la personne que j'étais. Ma transformation est en cours, et je vis des expériences merveilleuses. J'ai reçu bien plus que ce que j'aurais pu imaginer, car Dieu est riche en amour pour Ses enfants qui se confient en Lui.


Mireille