Jésus-Christ lui dit : "Retourne dans ta maison, et raconte tout ce que Dieu t’a fait". Luc 8:39

Article épinglé

IL Y A PLUS DE 2000 ANS : La femme adultère

La femme adultère, Jean 8:1-11    Jésus se rendit à la montagne des oliviers.  Mais, dès le matin, il alla de nouveau dans le temple, et tou...

samedi 7 juin 2025

PEUR (S)

Un sentiment qui peut détruire

« Aujourd'hui, je n'ai plus peur ni de vivre ni de mourir. »

La peur est un sentiment avec lequel nous cohabitons souvent sans en être pleinement conscients. Nous menons notre existence paralysés par cette émotion qui impose ses limites et dicte nos actions. Elle nous rend malades.

Pour ma part, j'avais peur de tout, bien que je m'efforçais d'être forte pour les autres. J'avais peur de vivre, de mourir, de ce que le lendemain me réservait, de la solitude, de m'exprimer en public, de me retrouver en groupe, d'être rejetée, du regard des autres...

Mon esprit d'entreprise était entravé par la peur de l'échec, par l'angoisse de ne pas aller au bout de mes objectifs. Je ne saurais même plus dresser la liste des autres peurs qui pourrissaient mon quotidien. J'ai vécu presque quarante ans dans cette prison, dans un stress permanent.

C'était hier !

Aujourd'hui, je n'ai plus peur de vivre, ni de mourir, ni de ce que demain me réserve. Au contraire, je me sens plus vivante que jamais. Je peux prendre la parole en public. J'entreprends de nouveaux projets, et je ne ressens plus de stress, Esaïe 41:13, philippiens 4:6-7.

Entre hier et aujourd'hui, il y a eu une rencontre décisive avec Jésus-Christ. Il vit en moi, a vaincu mes peurs et m'a offert la paix, Jean 14:27.

Tout cela est accessible gratuitement à tous ceux qui se tournent vers Jésus-Christ.


Gloire à Dieu !


Mireille

vendredi 6 juin 2025

IL Y A PLUS DE 2000 ANS : La femme qui souffrait de perte de sang

La femme qui souffrait de perte de sang depuis 12 ans, marc 5:21-34  

Jésus dans la barque regagna l'autre rive, où une grande foule s'assembla près de lui. Il était au bord de la mer.

Alors vint un des chefs de la synagogue, nommé Jaïrus, qui, l'ayant aperçu, se jeta à ses pieds, et lui adressa cette instante prière: Ma petite fille est à l'extrémité, viens, impose-lui les mains, afin qu'elle soit sauvée et qu'elle vive.

Jésus s'en alla avec lui. Et une grande foule le suivait et le pressait.

Or, il y avait une femme atteinte d'une perte de sang depuis douze ans.

Elle avait beaucoup souffert entre les mains de plusieurs médecins, elle avait dépensé tout ce qu'elle possédait, et elle n'avait éprouvé aucun soulagement, mais était allée plutôt en empirant.
Car elle disait: Si je puis seulement toucher ses vêtements, je serai guérie.
Au même instant la perte de sang s'arrêta, et elle sentit dans son corps qu'elle était guérie de son mal.
Ses disciples lui dirent: Tu vois la foule qui te presse, et tu dis: Qui m'a touché?
Mais Jésus lui dit: Ma fille, ta foi t'a sauvée; va en paix, et sois guérie de ton mal.


DELIVREE DE L'ESCLAVAGE « Il n’est jamais trop tard »

« Il n’est jamais trop tard »  


C'est à l'âge de 11 ans que j'ai consommé du "Tramadol" pour la première fois.

Mais ce que j’ai ressenti ce jour-là allait bien au-delà d’un simple soulagement. Mon corps s’est comme engourdi, et j’ai été envahie par une sensation de bien-être profonde, presque irréelle. Pour la première fois de ma vie, je me sentais en paix… presque heureuse. Ce moment d’euphorie, je ne l’ai jamais oublié. Il est devenu un refuge illusoire, une échappatoire à un vide intérieur que je ne savais pas nommer.

À partir de là, j’ai commencé à prendre du "Tramadol" régulièrement. D’abord pour apaiser la douleur, mais aussi et surtout pour retrouver cette sensation de bonheur fugace. Très vite, mon corps a développé une tolérance. Un comprimé ne suffisait plus. Puis deux, puis trois… jusqu’à huit par jour. Je jonglais avec les doses, cherchant un équilibre que je ne trouvais jamais. Ce médicament était devenu une prison. J’étais dépendante, perdue, fatiguée.

Le jour où j’ai découvert que j’étais enceinte de ma fille, une peur immense m’a saisie. Je craignais les conséquences de ma consommation sur sa santé, et je me sentais terriblement coupable. Mais au-delà de cette crainte pour mon enfant, je n’en pouvais plus moi-même. J’étais brisée intérieurement, incapable de me libérer.

Alors j’ai fait ce que je n’avais encore jamais fait avec autant de force : j’ai crié à Dieu.

Chaque jour, je Lui ai adressé des prières sincères, parfois silencieuses, parfois en larmes, mais toujours profondes. Je Lui ai demandé de protéger mon enfant… et de me délivrer moi aussi.

Et le Seigneur a répondu.

Ce que mes innombrables tentatives, marquées par la souffrance, la violence et l’impuissance, étaient incapables de produire, Dieu l’a accompli d’un seul acte de grâce.

Moi qui, à chaque sevrage, traversais des douleurs atroces dans le dos, les muscles, les articulations, jusque dans les dents cette fois, je n’ai rien ressenti.

Aucune douleur. Aucun manque.

J’ai été délivrée du jour au lendemain.

Aujourd’hui, je suis totalement libre. Ma fille est en bonne santé, et moi, je vis dans la paix de Dieu, sans dépendance, sans peur. Ce que les hommes n’ont pas pu faire pour moi, Jésus l’a fait d’un seul geste d’amour.

Je témoigne de cette délivrance pour rendre gloire à Dieu, et pour dire à celui ou celle qui lit ces lignes :

- Il n’est jamais trop tard.

- Tu n’es jamais trop loin.

- Ce que Dieu a fait pour moi, Il peut aussi le faire pour toi.

« Le Seigneur est proche de ceux qui ont le cœur brisé, et Il sauve ceux qui ont l’esprit abattu. » Psaume 34:18.


Yacine



TROUVER MON IDENTITE : Des ténèbres à la lumière !

"Je suis une femme relevée par la grâce et fille du Dieu vivant, connue, aimée, appelée"  

"Vous, au contraire, êtes une génération choisie, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple qui appartient à Dieu, afin que vous annonciez les louanges de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière." 1 Pierre 2:9. 

Quelle est mon identité ? Marocaine ? Sahraouie ? Française ? 

Pendant des années, je me posais cette question sans trouver de réponse claire. 

Je suis née au Maroc, dans une famille sahraouie engagée dans le combat pour l’indépendance du Sahara occidental. À cinq ans, j’ai quitté le Maroc pour la France.

C’est en France que mon enfance a été marquée par l’effervescence politique : réunions régulières à la maison, visites de journalistes, d’ambassadeurs, de figures influentes… Nous étions sous surveillance. Lors d’un déplacement du roi du Maroc en France, la police avait même perquisitionné notre logement familial.

Très tôt, je me suis définie par mes origines sahraouies. Mon appartenance à une grande tribu me donnait un sentiment d’héritage fort, une place, un nom. 

Petite, j’ai visité les camps de réfugiés sahraouis en Algérie pour tenter de mieux comprendre mon peuple, mon histoire, mes racines. Mais en grandissant, tout est devenu plus confus. 

Adulte, j’ai voyagé trois fois au Maroc. Malgré le lien de naissance géographique, je ne m’y suis jamais sentie chez moi. Aucune attache. Aucune reconnaissance. 

Je vivais en France, pays qui m’avait accueillie en tant que réfugiée politique, éduquée et naturalisée me tolérait mais jamais pleinement acceptée. Intégrée, oui. Aimée, non. Dans l’administration, à l’école, dans le monde du travail : je restais "étrangère". 

Alors, qui étais-je vraiment ?

Une Sahraouie déracinée ?

Une Marocaine de passage ?

Une Française sans racines ?

Je vivais entre plusieurs appartenances, sans jamais trouver la mienne.


Une rencontre inattendue

Une nuit, à quarante ans, assaillie par une atmosphère ténébreuse qui avait trop duré, j’ai eu un songe. 

J’ai vu au dessus de mes yeux, un homme de belle figure, indescriptible, assis sur un trône, calme et jeune, doux et plein d’autorité. À Sa gauche se tenait un être en robe blanche, immense, peut-être un ange ?

Les deux me fixaient, mais c'est surtout l'homme assis sur le trône qui captivait mon attention. J'étais interrogative et confuse. Le trône, tout comme l'être à sa gauche, s’inclina alors, afin de se mettre à ma portée. L’homme sur le trône m’a souri. Puis, je me suis réveillée.

Ce rêve m’avait profondément troublée. Je savais que ce n’était pas une simple image. C’était bien réel !

Qui était-ce ?…c’était Dieu, m’avait-on dit. Mais… ce n’était pas le Dieu que j’avais appris à nommer. 

Et doucement, la vérité s’est imposée : l’homme que j’avais vu, c’était Jésus ! Pas un guide moral, pas un prophète, mais Le Fils du Dieu vivant ! Celui que je priais dans le secret sans Le connaître m’était apparu. Il n’était pas lointain. Il était vivant, puissant, personnel ! Et Il m’appelait.


Une identité nouvelle -  Esaie 43:1

Cela avait commencé à bousculer, pas seulement mes croyances, mais mon identité tout entière. Ce que je cherchais depuis toujours — cette paix, cette appartenance, cette ADN spirituelle — je l'ai trouvé en Lui, en Jésus-Christ ! Avec le recul, je vois que Sa main m'avait portée depuis le commencement. Il m'avait protégée, guidée, aimée, même quand je ne connaissais pas encore Son nom. Et quand le moment est venu, Il s'est révélé.  Esaie 49:16. 


Une nouvelle créature

Depuis, je ne suis plus définie par une nation ou un héritage. 

Je suis une femme relevée par la grâce et fille du Dieu vivant, connue, aimée, appelée, galates 4:7. 

Je suis chrétienne et disciple de Jésus. 

Mon identité est en Christ — et en Lui seul. 

Il est plus que tout : Il est MON SEIGNEUR ET MON DIEU.  Jean 14:6 : « Je suis Le Chemin, La Vérité et la Vie. Nul ne vient au Père que par Moi ».


Kroura